Lors d'une réunion qui pourrait façonner l'avenir de la stabilité du Liban, l'envoyé américain Tom Barrack a déclaré qu'il était "très satisfait" de la réponse du Liban à une proposition américaine visant à désarmer le Hezbollah. Les commentaires sont intervenus après sa discussion avec le président libanais Joseph Aoun lundi, qui a été rapportée par l'agence nationale de presse du Liban (NNA).
Le message de Barrack était clair : les États-Unis ne sont pas là pour contrôler ou dicter les décisions du Liban, ils veulent simplement soutenir le pays alors qu'il cherche sa propre voie.
Un Sujet Compliqué
Parler du Hezbollah n'est jamais simple au Liban. Le groupe n'est pas seulement un parti politique, il a aussi une branche armée puissante qui joue un rôle majeur dans la région. Alors que de nombreux pays occidentaux, en particulier les États-Unis, voient le Hezbollah comme une menace, d'autres au Liban le considèrent comme une partie de leur système de défense, notamment contre Israël.
C'est ce qui rend cette conversation si sensible. Le désarmement du Hezbollah a été discuté pendant des années, mais il a toujours été accueilli avec prudence, non seulement de la part du groupe lui-même, mais aussi de la part des dirigeants qui craignent les répercussions de tout changement soudain.
Les États-Unis veulent soutenir, pas faire pression
Après avoir rencontré le président Aoun, Barrack a parlé aux journalistes et a adopté un ton calme et respectueux.
«Nous avons eu une réunion très satisfaisante et apprécions la réponse équilibrée du Liban,» a-t-il déclaré.
“Il ne s'agit pas des États-Unis disant au Liban quoi faire. Il s'agit d'aider le Liban à prendre ses propres décisions, des décisions qui protègent son avenir et son peuple.”
Cette approche plus douce marque un changement par rapport aux stratégies américaines passées, qui penchaient souvent davantage vers la pression que le partenariat. Barrack semble essayer quelque chose de différent, en construisant d'abord la confiance.
Position du Liban : Garder les choses stables
Bien que le Liban n'ait pas encore publié tous les détails de sa réponse, des sources proches du président affirment qu'Aoun choisit une voie prudente et équilibrée. Il aurait dit à Barrack que le Liban souhaite protéger son unité nationale et sa sécurité, ce qui inclut la gestion de la question du Hezbollah d'une manière qui évite le conflit ou le chaos.
Ce n'est pas une situation de oui ou de non. Le gouvernement libanais sait que toute grande décision nécessite du temps, des conversations et un accord de plusieurs parties.
Que se passe-t-il ensuite ?
La visite de Barrack pourrait être le premier pas d'un voyage plus long. D'autres discussions sont attendues, et les États-Unis devraient rester impliqués, non pas pour diriger, mais pour écouter et aider. Quant au Hezbollah, le groupe n'a pas encore fait de commentaire officiel, mais les experts politiques disent qu'ils suivent de près.
La Grande Image
Dans une région pleine de tensions, des moments comme celui-ci, où les dirigeants s'assoient réellement, parlent et écoutent, sont rares et importants. Les États-Unis et le Liban ne s'accordent pas sur tout, mais cette réunion a montré qu'un dialogue respectueux est toujours possible.
Pour l'instant, il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou tort. Il s'agit de trouver un moyen pacifique d'avancer, un pas à la fois.
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L'envoyé américain loue la réponse du Liban à la proposition de désarmement du Hezbollah
Lors d'une réunion qui pourrait façonner l'avenir de la stabilité du Liban, l'envoyé américain Tom Barrack a déclaré qu'il était "très satisfait" de la réponse du Liban à une proposition américaine visant à désarmer le Hezbollah. Les commentaires sont intervenus après sa discussion avec le président libanais Joseph Aoun lundi, qui a été rapportée par l'agence nationale de presse du Liban (NNA).
Le message de Barrack était clair : les États-Unis ne sont pas là pour contrôler ou dicter les décisions du Liban, ils veulent simplement soutenir le pays alors qu'il cherche sa propre voie.
Un Sujet Compliqué
Parler du Hezbollah n'est jamais simple au Liban. Le groupe n'est pas seulement un parti politique, il a aussi une branche armée puissante qui joue un rôle majeur dans la région. Alors que de nombreux pays occidentaux, en particulier les États-Unis, voient le Hezbollah comme une menace, d'autres au Liban le considèrent comme une partie de leur système de défense, notamment contre Israël.
C'est ce qui rend cette conversation si sensible. Le désarmement du Hezbollah a été discuté pendant des années, mais il a toujours été accueilli avec prudence, non seulement de la part du groupe lui-même, mais aussi de la part des dirigeants qui craignent les répercussions de tout changement soudain.
Les États-Unis veulent soutenir, pas faire pression
Après avoir rencontré le président Aoun, Barrack a parlé aux journalistes et a adopté un ton calme et respectueux.
«Nous avons eu une réunion très satisfaisante et apprécions la réponse équilibrée du Liban,» a-t-il déclaré. “Il ne s'agit pas des États-Unis disant au Liban quoi faire. Il s'agit d'aider le Liban à prendre ses propres décisions, des décisions qui protègent son avenir et son peuple.”
Cette approche plus douce marque un changement par rapport aux stratégies américaines passées, qui penchaient souvent davantage vers la pression que le partenariat. Barrack semble essayer quelque chose de différent, en construisant d'abord la confiance.
Position du Liban : Garder les choses stables
Bien que le Liban n'ait pas encore publié tous les détails de sa réponse, des sources proches du président affirment qu'Aoun choisit une voie prudente et équilibrée. Il aurait dit à Barrack que le Liban souhaite protéger son unité nationale et sa sécurité, ce qui inclut la gestion de la question du Hezbollah d'une manière qui évite le conflit ou le chaos.
Ce n'est pas une situation de oui ou de non. Le gouvernement libanais sait que toute grande décision nécessite du temps, des conversations et un accord de plusieurs parties.
Que se passe-t-il ensuite ?
La visite de Barrack pourrait être le premier pas d'un voyage plus long. D'autres discussions sont attendues, et les États-Unis devraient rester impliqués, non pas pour diriger, mais pour écouter et aider. Quant au Hezbollah, le groupe n'a pas encore fait de commentaire officiel, mais les experts politiques disent qu'ils suivent de près.
La Grande Image
Dans une région pleine de tensions, des moments comme celui-ci, où les dirigeants s'assoient réellement, parlent et écoutent, sont rares et importants. Les États-Unis et le Liban ne s'accordent pas sur tout, mais cette réunion a montré qu'un dialogue respectueux est toujours possible.
Pour l'instant, il ne s'agit pas de savoir qui a raison ou tort. Il s'agit de trouver un moyen pacifique d'avancer, un pas à la fois.