Tout le monde célèbre l'accord Japon–États-Unis de 550 milliards de dollars.
Mais soyons honnêtes : d'où vient l'argent ? Et qui écrit le chèque ?
Le gouvernement japonais ne peut pas forcer les entreprises privées à investir à l'étranger.
Et il n'y a aucun détail sur la structure du projet, le calendrier ou l'allocation de capital.
Cela semble génial sur un podium. Mais sur le papier ? C'est vague. Et maintenant, le Trésor menace de réimposer des tarifs de 25 % si le Japon ne livre pas.
Des affaires comme celle-ci ne fonctionnent que lorsque le flux de capitaux est réel, et non rhétorique.
Jusqu'à ce moment-là, ce n'est pas une infrastructure — c'est un effet de levier.
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Tout le monde célèbre l'accord Japon–États-Unis de 550 milliards de dollars.
Mais soyons honnêtes : d'où vient l'argent ? Et qui écrit le chèque ?
Le gouvernement japonais ne peut pas forcer les entreprises privées à investir à l'étranger.
Et il n'y a aucun détail sur la structure du projet, le calendrier ou l'allocation de capital.
Cela semble génial sur un podium. Mais sur le papier ? C'est vague.
Et maintenant, le Trésor menace de réimposer des tarifs de 25 % si le Japon ne livre pas.
Des affaires comme celle-ci ne fonctionnent que lorsque le flux de capitaux est réel, et non rhétorique.
Jusqu'à ce moment-là, ce n'est pas une infrastructure — c'est un effet de levier.
#TradeDeal # Géopolitique #Japan # États-Unis #Tariffs # FinanceMondiale #Markets # FluxDeCapital